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MODE D'ACTION DE LA BIOTHERAPIE GAZEUSE





 
THERAPEUTIQUE PAR LES GAZ DILUES ET DYNAMISES

Les médecines homéopathiques et anthroposophiques ont ceci en commun qu'elles utilisent le remède dilué et dynamisé.Selon la nature de la substance, la dilution s'effectue en phase solide sous forme de trituration et en phase liquide sous forme de dilution aqueuse.Entre chaque dilution la dynamisation sera obtenue en phase solide par trituration et en phase liquide par agitation.Cette étape de la préparation du remède est indispensable et primordiale.

Il est important de préciser un terme de sémantique.Le terme dilué est employé improprement pour désigner l'action de disperser une substance donnée, qu'elle soit de nature solide, liquide ou gazeuse dans un milieu naturel de même nature, c'est à dire un solide dans un solide (exemple: du fer dans de la poudre de lactose), un liquide dans un autre liquide (exemple:une teinture mère dans de l'eau) un gaz dans un gaz (exemple: de l'oxygène dans l'azote)Dans la langue francaise, il n'existe aucun terme générique désignant l'action de dispersion d'un substance solide, liquide ou gazeuse dans un milieu de même nature.

Le Docteur Roger FIX en 1979, donna vie à la Biothérapie Gazeuse, qui s'est révélée comme la plus efficace des thérapeutiques de régulation., c'est à dire de terrain.
Personne, jusqu'à ce jour, à notre connaissance, n'a proposé l'utilisation en thérapeutique de substances gazeuses ayant subi une telle préparation en phase gazeuse.
Pourtant un premier coup d'oeil sur le monde vivant, nous révèle que l'albumine, pierre de construction de la matière organique, comprend parmi ses quatre principaux constituants(carbone,oxygène,azote,hydrogène) trois substances de nature gazeuse.
Pourquoi ne pas avoir utiliser des substances gazeuses en thérapeutique?
Car enfin, il existe trois états courants de la matière:
solide, liquide et gazeux.

La recherche pharmaceutique s'intéresse de plus en plus aux gaz, pour ne citer qu'un des derniers prix NOBEL sur le Monyde d'Azote (NO)en tant que médiateur au niveau de la synapse nerveuse.

Comment découvrir et approcher la propre indication thérapeutique des gaz dilués et dynamisés?
La première solution qui vient d'emblée à l'idée du médecin familiarisé avec l'homéopathie consiste en leur utilisation conformémént au principe de similitude homéopathique définie par Hahnemann dans son"Organon".
Malheureusement, cela suppose l'existence de pathogénésie des différentes substances gazeuses dont on envisage un usage thérapeutique.
Or ces pathogénésies n'existent pas , et leur réalisation représente un travail difficile.
Dans ces conditions, on doit utiliser d'autres méthodologies pour caractériser le remède gazeux.
1°)L'application du principe d'identité, à la lumière d'une approche biochimique de la biothérapie gazeuse.
2°)L'approche phénoménologique et l'application de similitude phénoménologique
.
 


LA LOI DIDENTITE

 
RECHERCHES EXPERIMENTALES

Du fait de leur utilisation à doses infinitésimales, les remèdes gazeux, à l'instar des remèdes homéopathiques, échappent à la loi d'action de masse qui répond du mode d'action des substances administrées à doses pondérales comme c'est généralement en Allopathie
D'où l'attitude de principe des tenants de cette discipline et des biochimistes qui dénient toute forme d'activité aux remèdes tels qu'ils sont utilisés en homéopathie et en biothérapie gazeuse.
Cette prise de position résulte du fait qu'ils tiennent compte que de l'aspect thermodynamique des phénomènes et ignore totalement leur aspect informationnel.


LE PRINCIPE DE LA LOI D'IDENTITE.

Celle-ci énonce le principe général, expérimentalement démontré, de l'activité d'une substance, à doses infinitésimales, sur le métabolisme de cette même substance au sein d'un organisme vivant.
Ainsi a-t-on pu démontrer que l'arsenic à doses infinitésimales agit sur le métabolisme de l'arsenic, la folliculine sur le métabolisme de la folliculine, l'alloxane sur le métabolisme de l'alloxane....
Modèle expérimental réalisé par le professeur MOURIQUAND et ses collaborateurs. (Voir Annexe 1 expérimentations sur la loi d'identité dans la thérapie de ce site)

Les autres travaux sont accessibles dans les ouvrages de DOUBLIER 1 ET PLAZY 2.
1 Contribution au bilan de la recherche expérimentale en Homéopathie.
2Recherche expérimentale moderne en Homéopathie.Ed.Coquemard Angoulême 1 vol 1967.

La loi d'identité ainsi établie, comporte un corollaire dont l'importance est capitale pour le choix des remèdes. En effet, si toute substance à doses infinitésimales agit sur son propre métabolisme, il va de soi que plus grand sera le rôle physiologique de ladite substance plus grande sera son action à dose infinitésimale sur l'économie générale de l'organisme

En d'autres termes, une thérapeutique qui entend se fonder sur la loi d'identité se doit , pour obtenir une efficacité maximale, de choisir ses remèdes parmi les substances qui jouent dans les processus vitaux un rôle capital.

On pourrait ainsi penser à l'utilisation des grandes vitamines, des grandes hormones ou des principaux médiateurs chimiques du système nerveux, substances dont on connait le rôle physiologiques considérable.

A l'usage, l'action de telles substances utilisées à doses infinitésimales reste toutefois limitée.
Il convient donc de s'adresser à des substances jouant un rôle encore plus important.

Or précisément, les substances qui jouent au plus haut niveau le rôle physiologique le plus important sont précisément des substances de nature gazeuse: l'Oxygène(O2) ,l'Azote (N2) , l'Hydrogène( H2), l'Ammoniac (NH3) ,le Méthane (CH4), le Gaz Carbonique (CO2), le Cyanogène (C2N2), le Formaldéhyde (CH2O ).
En outre les mécanismes-clés du métabolisme consistent en un nombre relativement limité de réactions de base (oxydation, hydrogénation, méthylation, amination, carboxylation, nitrilation) dans lesquelles sont impliquées, respectivement, l'oxygène (O2), l'Hydrogène(H2) ,le Méthane(CH4) ,l'Ammoniac (NH3) , l'anhydride carbonique (CO2) , l'acide cyanhydrique (HCN) ou le cyanogène (C2 N2).



LE DEFICIT ENERGETIQUE ET INFORMATIONNEL

L'organisme humain, comme tout système vivant, est doté d'un mécanisme d'autorégulation, ou, pour nous exprimer en termes biologiques, d'un processus d'auto guérison.
Entendez par là que si tout se passait normalement, en cas de déséquilibre, longtemps avant de faire naufrage dans la maladie, il effectuerait spontanément le retour à un état de fonctionnement optimal.
Concluons de ce qui précède que le meilleur médecin n'est autre que l'organisme lui-même.

Mais , alors, comment se fait-il que tant d'individus s'enfoncent de plus en plus dans la maladie?
Statistiquement, 25% seulement de la population déclarent être en bonne santé, 70% se plaignent de troubles divers, plus ou moins sérieux et 5% sont gravement atteints.
Pourquoi l'organisme faillit-il à sa tâche?
Qu"est -ce qui explique la défaillance du processus d'auto guérison?
La théorie générale des systèmes nous enseigne qu'une action, qu'elle soit, de la plus simple à la plus complexe, nécessite la disponibilité simultanée d'énergie et d'information.
Il s'agit là d'une loi universelle qu'il importe de comprendre car il y va de l'efficacité en toutes choses, même pour planter un clou dans un mur.
Sans énergie, rien ne va, mais en l'absence d'information il en va de même.
Un tétraplégique pourra-t-il accomplir la tâche?
Non, évidemment!
Pourquoi?
Par manque de force musculaire, autrement dit, en raison d'un déficit énergétique flagrant.
Imaginez à présent quelqu'un qui dispose d'une musculature d'athlète mais qui est affligé d'une débilité profonde.
Y parviendrait-il?
Pas davantage, en raison d'un déficit informationnel.
En effet, comment agir sans savoir quoi faire, ni comment faire?

Donc, toute action nécessite la disponibilité simultanée d'énergie et d'information.
Par conséquent, tout déficit de l'une ou de l'autre - et à plus forte raison, de l'une et de l'autre - entraînera une difficulté voire une impossibilité de réaliser l'action.

L'existence même des affections chroniques témoigne de l'impossibilité pour l'organisme de mettre en oeuvre le processus d'auto guérison et, par conséquent, atteste l'existence d'un déficit énergétique et/ou informationnel.
En fait, tout trouble physiologique, et a fortiori toute maladie, procède à la fois de l'un et de l'autre, en portion variable selon le cas.
 


DEFICIT ENERGETIQUE

 
Comment l'organisme se procure-t-il l'énergie dont nous avons dit précédemment qu'il est indispensable pour que l'action soit possible, autrement dit, dans le cas qui nous occupe, pour que la vie soit possible?
Ecoutons POLONOWSLI dans " Biochimie médicale " (Tome II, Masson 1971) :

"Les substances organiques complexes qui constituent les aliments brûlent au contact de l'OXYGENE et sont transformées en CO2 et H2O comme elles le seraient dans le four à combustion du chimiste.
Il existe cependant entre les deux ordres de phénommène des différences essentielles.

Quand une matière organique brûle in vitro, la température atteinte est telle que le carbone et l'hydrogène de la molécule se combinent directement à l'oxygène, on a alors affaire à la réaction:

CnH2m + q O2 ........ nCO2 + m H2O

Il en est tout autrement dans l'organisme vivant aux températures compatibles avec la vie,
il n'y a pas de désintégration de la molécule organique, ni de combustion directe du carbone;
seul L'HYDROGENE intervient activement dans les réactions d'oxydation, et la formation de CO2 apparait comme un phénomène secondaire, sous la dépendance d'une oxydation en quelque sorte indirecte qui aboutit finalement à une décarboxylation.
"

Ainsi donc, comme l'a montré WIELAND (chimiste allemand 1877-1957, prix NOBEL de chimie en 1927), la machine humaine ne tire pas son énergie, comme une machine à vapeur, d'une combustion du carbone, mais d'une oxydation de l'hydrogène arraché au substrat.
Aussi comprend-on que SZENT-GYÖRGYLl (Biochimiste américain 1893-1986 découvreur de la vitamine C, prix NOBEL de médecine en 1937) ait pu dire d'une façon imagée que notre petit déjeuner n'était constitué que D'HYDROGENE.

Concluons de ce qui précède que l'approvisionnement en énergie de l'organisme est tributaire du comportement approprié de deux acteurs : l'HYDROGENE et l'OXYGENE.

On comprend qu'en cas de disfonctionnement de l'un ou de l'autre, du fait d'un déficit informationnel dont il sera question au chapitre suivant, l'approvisionnement en énergie puisse être perturbé et, par conséquent, l'équilibre physiologique compromis.
On comprend également que conformément à la loi d'identité, l'OXYGENE et L'HYDROGENE, à doses infinitésimales, puisse rétablir le métabolisme de ces substances dans son fonctionnement optimal.

Le fait a été expérimentalement démontré pour l'OXYGENE.
On sait que la consommation tissulaire en Oxygène est sous la dépendance d'un phosphate organique : le 2,3diphosphoglycérate(2,3 DPG) qui est un régulateur de la fonction oxyphorique des globules rouges.
La fixation du 2,3DPG diminue considérablement l'affinité de l'hémoglobine pour l'OXYGENE et de ce fait entraîne un accroissement de la libération d'OXYGENE au niveau des tissus.
Donc, si l'administration d'OXYGENE
à dose infinitésimale devrait agir sur le métabolisme de l'OXYGENE en favorisant la respiration cellulaire, on devrait observer une augmentation significative du taux sanfguin du 2,3 DPG.
C'est ce qui a été mis en évidence par le laboratoire de Chimie Biologique de la Faculté de Médecine de Strasbourg.
Aprés un dosage initial du 2,3 DPG,
on a administré à quarante deux sujets quatre injections sous-cutanéees d'O2 D6 (soit la dose de 1 ppm) , à raison d'une injection de 1 ml à intervalle de quatre jours.
Huit jours aprés la quatrième injection, a été réalisé un deuxième dosage de 2,3 DPG.
Ce protocole a permis de mettre en évidence une diminution du taux du 2,3 DPG chez cinq sujets tandis que chez les trente sept autres on a constaté une augmentation statistiquement significative.
Celle-ci s'est établie autour d'une moyenne de 19.04% avec des variations se situant dans une fourchette allant de 0.77 à 78.42%

Ainsi se trouvent démontés la loi d'identité et la capacité de l'Oxygène d'influer sur son propre métabolisme et par là sur la gestion énergétique de l'économie organique.
 

DEFICIT INFORMATIONNEL

 
Pour interpréter la symphonie de la vie, la nature se sert de quatre instruments : le CARBONE (C) , l'OXYGÈNE(O) ,l'AZOTE (N) ,et l'HYDROGENE (H), les quatre substances constitutives de tout organisme vivant.
A celle-ci, il convient d'ajouter des substances qui jouent un rôle physiologique essentiel : le gaz carbonique( CO2), le méthane (CH4), l'ammoniac (NH3), le soufre (SH2, SO2, SF6), le phosphore (PH3)



Or, au bout d'un certain temps, les meilleurs instruments finissent par se désaccorder, et alors la symphonie devient cacophonie.
Il en va de même des substances qui, comme nous venons de l'indiquer, permettent à la nature de jouer la symphonie de la vie.

A la base de tout système fonctionnel se trouve une information.
Ainsi, à l'origine d'une machine pilotée par ordinateur, se situe la pensée de celui qui la crée.
Dans le cas des atomes dont nous ignorons qui en est l'auteur, l'information est inhérente à leur structure, peut-être sous la forme de la configuration du spin de l'électron.
Mais, sous l'effet d'influences nocives, provenant aussi bien du milieu intérieur qu'extérieur, les atomes qui entrent dans la constitution de notre corps, peuvent subir partiellement une perte de l'information qui sous-tend leur fonctionnement normal.
Par quel mécanisme, les atomes de notre corps peuvent-ils subir une perte d'information?
Pour le comprendre, il faut savoir que tout système fonctionnel, à commencer par la série des éléments naturels les atomes, est pourvu d'un " champ d'influence " qui lui fournit l'énergie et l'information indispensables à son bon fonctionnement.

Qu' est ce qu' un champ d' influence?
Un champ d'influence consiste en un espace au sein duquel une action est possible grâce à la disponibilité d'énergie et d'information.
Afin de bien comprendre ce qu'est un champ d'influence nous emprunterons au domaine de la physique quelques exemples.
Plaçons une feuille de papier sur un aimant et saupoudrons-la d'une faible quantité de limaille de fer.
Qu'observe -t-on?
Que les fines particules de fer ne se disposent pas au hasard mais selon des lignes appelées lignes de force correspondant à ce que les hommes de science ont appelé champ magnétique.
Sous l'effet d'un champ énergétique (forces magnétiques) les particules métalliques adoptent une configuration caractéristique.
Or où apparaissent des formes, existe une trame informationnelle qui permet à la force d'agir d'une manière orientée qui ne doit rien au hasard.
Résumons-nous en formulant qu'un champ magnétique, conformément à la théorie des champs, fournit l'énergie qui mobilise les particules de fer, ainsi de l'information qui les agence.

Pensons à un autre type de champ physique: le champ gravitationnel terrestre, plus couramment appelé pesanteur.
Il est facile à mettre en évidence. Il suffit pour cela de lâcher un objet tenu à la main pour le voir immédiatement tomber au sol.
Comme un champ magnétique, le champ gravitationnel fournit également énergie et information.
L'énergie est celle qui tire les corps vers le bas et l'information celle qui fait que les corps tombent selon une direction verticale.
La verticalité est l'information que seul le champ gravitationnel fournit. D'où l'usage du fil à plomb ou niveau à bulle indispensable aux maçons comme aux constructeurs d'ouvrages d'art.
Et voici un troisième exemple de champ d'influence: les champs hertziens ou ondes radio. L'atmosphère terrestre est parcourue en tous sens par des ondes électromagnétiques émises par les innombrables émetteurs radio en activité. Nous baignons littéralement dans un océan d'ondes électromagnétiques qu'il est possible d'objectiver à l'aide d'un récepteur radio. Un poste radiophonique en fonctionnement, délivre une énergie sonore mesurable en décibels ainsi qu'une information (paroles et musiques)
Et là, comme dans les deux exemples précédents nous trouvons à l'oeuvre, énergie et information.
Observons à propos de ces trois exemples qu'un champ d'influence est, par nature, suprasensible c'est-à-dire indétectable par les organes des sens ou par quelque instrument de mesure que ce soit.
Seuls leurs conséquences sur un substrat matériel (limaille de fer pour les champs magnétiques, objet qui tombe pour le champ gravitationnel et récepteur radio pour les champs hertziens ) sont accessibles à la perception sensorielle et aux instruments de mesure.

D'où provient le champ d'influence dont nous venons de voir qu'il fournit l'énergie et l'information qui seules permettent à l'être d'exister?
Qu'est ce qui produit un champ d'influence?
Qu'est -ce qui produit un champ magnétique? Un aimant.
Qu'est ce qui produit le champ gravitationnel terrestre? L'énorme masse de terre.
Qu'est-ce -qui produit un champ hertzien? Un émetteur radio.
Observons que dans tous les cas c'est une substance, une structure de nature matérielle qui est à l'origine d'un champ d'influence.
Il s'agit là d'une loi universelle: à l'origine d'un champ d'influence se trouve toujours une substance c'est à dire une réalité matérielle.
Et comme un être ne saurait exister en l'absence d'un champ d'influence qui lui fournit l'énergie et l'information indispensables, nous conclurons qu'il ne saurait y avoir d'ÊTRE en -dehors d'une réalité matérielle. En d'autres termes: l'idée d'un ETRE immatériel ou d'une réalité immatérielle n'est que pure vue de l'esprit.
Il n'est point de réalité en dehors de la matière
.
La diversité ne réside que dans les différences de densité et, par conséquent, dans la configuration énergétique et informationnelle, variable d'un être à l'autre.

Si, précisons , en prenant l'exemple de la machine la plus simple que l'Univers ait engendré:
l'atome d'HYDROGÈNE.
D'où lui vient l'énergie qui permet à son unique électron de graviter - depuis le commencement des temps ! - autour de son unique proton. Et d'où vient l'information qui permet à cet électron de graviter selon des modalités très précises, propres à chaque atome?
L'une et l'autre - l'énergie et l'information - lui sont fournies par le champ d'influence propre dont dispose tout atome, et au delà, toute molécule minérale ou organique, tout tissu, tout organe et finalement tout organisme.
C'est ainsi que des niveaux d'organisation en niveaux d'organisation de plus en plus complexes (physique, biologisque, psychique,mental,individuel,conjugal,familial,régional, national,mondial,universel...), on aboutit à des champs d'influences, eux-mêmes, de plus en plus complexes.
Ajoutons que l'ensemble de ces champs d'influence, comme nous l'enseigne la mécanique quantique , sont interconnectés, interactifs et interdépendants.

Mais revenons aux atomes qui constituent notre corps pour comprendre comment ils peuvent subir une perte d'information.
Celle-ci provient de l'effet perturbateur, sur le champ d'influence délétères des atomes, de champ d'influence délétères produits par l'individu lui-même en se livrant à des activités de son âme(sentiments) et de son esprit (pensées).
Ce faisant ,il déverse en lui et autour de lui, des substances - en effet il n'existe pas de réalités immatérielles, à ce propos cf. annexe à la fin de ce document - qui auront la coloration de ses sentiments (souffrance morale, colère, ressentiment, rancune, haine, jalousie, peur, anxiété..) et de ses pensées (ignorance, erreurs , mensonges..)

C'est ainsi que l'on peut donner naissance en nous à des champs perturbateurs qui vont interférer avec ceux des atomes et occasionner une altération de leur champ informationnel, et, par conséquent, de leur fonctionnement normal.

Un exemple tiré d'expériences issues de la vie courante, nous permettra de mieux comprendre ce mécanisme.

Imaginez-vous confortablement installé au volant d'une limousine dont le poste HIFI distille les accents d'une harmonieuse symphonie.
Soudain, vous passez sous une ligne de haute tension .
Instantanément, l'harmonie devient une cacophonie inaudible, conséquence des interférences entre le champ perturbateur(électromagnétique) induit par la ligne de haute tension et le champ d'influence(ondes hertziennes) qui véhicule la symphonie.

De la même manière, les champs perturbateurs induits par nos sentiments et nos pensées toxiques, perturbent le champ d'influence énergétique et informationnel des atomes.

Si à ce stade, rien n'est fait pour remédier au déficit informationnel qui en résulte, celui-ci s'étend progressivement aux niveaux d'organisation subséquents : moléculaire,puis tissulaire,puis organique...
C'est ainsi qu'un trouble fonctionnel localisé initialement au seul niveau d'organisation atomique, finit par s'inscrire dans la chair sous la forme de telle ou telle maladie.
Le choix est vaste!
Soulignons que le passage du stade de la perturbation atomique à celui de lésion organique et de maladie déclarée, est souvent très longue:de l'ordre de plusieurs dizaines d'années.

C'est dire qu'en corrigeant le déficit informationnel à son stade initial (atomique), il est possible de prévenir les suivants et, de la sorte , empêcher la maladie de s'installer, ou, plus précisément, de permettre à l'organisme de mettre en oeuvre son processus auto guérison.
D'où l'intérêt de l'instauration précoce de la biothérapie gazeuse.

Après avoir cherché la cause de la maladie aux niveaux des organes avec MORGAGNI (1682-1771 ), fondateur de l'anatomopathologie;puis au niveaux des tissus avec BICHAT (1771-1802), fondateur de l'histologie; puis au niveau de la cellule avec VIRCHOW (1821-1902), fondateur de la pathologie cellulaire; puis au niveau moléculaire avec le développement plus récent de la chimie analytique, il convient, à présent, de la reconnaître son stade initial:
l'atome(pathologie atomique).

Il est vraisemblable qu'il faille aller plus loin et la chercher au niveau des éléments constitutifs de l'atome et notamment au niveau de la configuration informationnelle (moment angulaire du spin) et énergétique (moment angulaire orbital) de l'électron.
D'où le concept de "pathologie corpusculaire".

Cependant, en dernière analyse, la cause originelle de la maladie est à chercher aux niveaux d'organisation psychique (sentiments) et spirituel (pensées). En effet, comme nous l'avons vu , ce sont les champs d'influences délétères induits par nos sentiments toxiques (la HAINE en tête) et nos convictions erronées -le plus souvent inconscientes - qui, en interférant avec le champ d'influence des atomes, perturbent le fonctionnement de ces éléments constitutifs de tout objet et de tout être, dont on sait qu'ils jouent, au niveau de l'organisme, un rôle structurel et fonctionnel fondamental.
On ne sera pas surpris, par conséquent, du fait que leur disfonctionnement puisse progressivement entraîner des troubles organiques sous la forme de telle ou telle maladie.

Concluons de ce qui vient d'être dit que, dans les cas où la correction du déficit énergétique et informationnel, telle qu'elle est proposée dans ce travail, ne produit pas les résultats escomptés, seule une remise en cause de l'individu par lui-même- de ses sentiments et de ses pensées (de son économie psychique et spirituelle) -sera en mesure d'entraîner la guérison.

Ce qui suppose, ce que SOCRATE, au 5ième siècle avant notre ère, avait déjà préconisé, à savoir une bonne connaissance de soi-même.
Mais également le courage de regarder en face ce qui en nous est tout sauf valorisant à nos propres yeux et que la plupart fuient en le projetant sur autrui.


Le remède consistera à restituer aux atomes l'intégralité de l'information.
Prenons l'exemple des milliards et des milliards d'atomes d'hydrogène qui entrent dans la constitution de notre organisme physique.
Comment leur fournir l'information qui leur fait défaut?
Au moyen de L'HYDROGENE, bien sûr!
Cependant"L'HYDROGENE SUBSTANCE" ne nous sera pas d'un grand secours car ce n'est pas de la substance dont nous avons besoin mais de l'information qui sous-tend son existence même.
Comment extraire de la substance , l'information?
Tout simplement en la diluant.
Ainsi nous disperserons un volume d'HYDROGÈNE dans neuf volumes d'un gaz neutre (l'AZOTE par exemple).
La teneur en hydrogène du mélange sera dix fois moins importante que celle du gaz pur.
Puis ce premier mélange sera à nouveau dispersé dans neuf volumes d'azote etc.
Par ce moyen, on obtient successivement des mélanges 100 ,1000,10000..,100000.., 10000000000000000!!!! fois moins concentré que l'HYDROGÈNE PUR.
Au bout d'un certain nombre de dilutions, il ne restera même plus un seul atome d'HYDROGÈNE dans le mélange.
C'est pour cette raison que les chimistes et les médecins, qui ont l'habitude d'administrer des doses de plus en plus massives d'antibiotiques ou d'autres produits chimiques, ricanent, prétendant qu'un remède dilué à ce point n'a plus aucune activité.
Et ils ont entièrement raison!
Ils ignorent cependant que les médecins qui utilisent des substances à des doses aussi phénoménalement faibles, ne leur demandent pas d'être actives mais de véhiculer l'information:
l'information, pour en revenir à notre exemple, qui sous-tend le fonctionnement normal de l'atome d'HYDROGÈNE.

En diluant, selon la technique qui vient d'être décrite, un produit quelconque dans une substance vectrice neutre (eau pour les liquides, la poudre de lactose pour les solides, l'AZOTE pour les gaz), on aboutit, comme le soutiennent à juste titre les chimistes, à un produit chimiquement inactif
Il acquiert par contre des propriétés physiques liées à la nature même de la substance diluée.
En d'autres termes, la substance libère son "âme" c'est-à-dire l'information qui jusque-là sous-tendait son existence.
En disparaissant, elle"rend son âme" et l'information correspondante sera stockée au niveau du solvant sous la forme d'une réorganisation de la structure atomique qui acquiert, de ce fait, des propriétés vibratoires spécifiques de la substance diluée et de son niveau de dilution.

LE PROCESSUS DE DILUTION

permet de quitter le domaine grossier de la chimie pour pénétrer dans celui, beaucoup plus subtil, de la physique des champs dont les interactions avec l'environnement sont instantanées, contrairement aux réactions chimiques qui nécessitent un laps de temps pour s'effectuer.
Ainsi, à titre d'exemple, l'action d'un champ magnétique sur la limaille de fer est instantanée tandis que son oxydation au contact de l'OXYGÈNE atmosphérique ne s'effectue que dans la durée.
Ainsi également un anti-inflammatoire n'agit sur une douleur arthrosique qu'au bout d'un certain temps, tandis que l'injection intra articulaire d'un mélange d'OXYGÈNE, d'AZOTE, et d'HYDROGÈNE dilués au millionième entraîne, dans 10% des cas, une sédation considérable, voire une disparition instantanée de la douleur.
Pourquoi seulement dans 10% des cas?
Parce que dans les 90% des cas restants, le potentiel énergétique disponible est insuffisant pour permettre à l'organisme de mettre en oeuvre son processus d'auto guérison.
Or, ne l'oublions pas, toute action nécessite la disponibilité simultanée d'énergie et d'informations suffisantes.
Ajoutons toutefois que dans les quatre vingt dix cas qui ne répondent pas instantanément, plus de quatre vingt y répondent en moins de huit jours et au plus tard après la troisième injection.
Ce qui donne, au total, un score de plus de 90% de bons et d'excellents résultats.

En administrant des doses infinitésimales d'HYDROGÈNE, tous les atomes d'hydrogène du corps se mettent au diapason de l'information ainsi fournie et reviennent à leur mode de fonctionnement normal.
C'est ainsi qu'en réglant, par le même moyen, le fonctionnement des atomes de CARBONE, d'OXYGENE, d'AZOTE, de GAZ CARBONIQUE ,etc..
il est possible de reconduire l'organisme à son état d'équilibre, c'est-à-dire de santé:

1) à la condition qu'il dispose de l'énergie suffisante pour la mise en oeuvre du processus d'auto guérison; ce qui est loin d'être la règle.
Le déficit énergétique, s'il existe, rend compte de l'échec ou des résultats insuffisants de la biothérapie gazeuse dans les indications comme les allergies (eczéma,urticaire,rhume des foins, asthme..) et le rhumatisme (arthrites,arthrose,tendinites,lombalgies, sciatiques,polyarthrite rhumatoïde..) où les bons résultats sont la règle.

2) Dans la limites, bien entendu des lésions acquises.
Voilà pourquoi, mieux vaut faire appel à ce traitement dés les premiers stades de la maladie.
Ou mieux encore: en faire un usage préventif.
Car, comme chacun sait, il vaut mieux prévenir que guérir.

ANNEXE

LEUCIPPE et DEMOCRITE, au 5ième avant J.C déjà, ont souligné que l'âme et l'esprit étaient de nature matérielle.
C'est également l'avis de REGIS DUTHEIL (L'homme supra- lumineux Editions SAND ) professeur agrégé de médecine, professeur de physique et de biophysique : " La conscience, affirme-t-il, a une existence matérielle puisqu'elle interagit avec le milieu. Nous voulons dire par là que la conscience n'est pas esprit ou âme, impalpable et évanescente, comme on s'est plu trop longtemps à la décrire : elle est formée de matière "

SIR JOHN ECCLES, éminent neuro-physiologiste australien, prix NOBEL 1963 est du même avis. Dans The Neurophysiological Basis of Mind, il suggère que le cortex cérébral aurait comme unique fonction celle de détecteur d'une autre structure, non accessible actuellement aux instruments de la physique, qui serait l'esprit.
ECCLES dit clairement " il y a l'esprit -structure physique encore inconnue , le cortex cérébral dont l'unique fonction serait de détecter des champs d'influences spatio-temporels provoqués par l'esprit et assurant le fonctionnement normal de la sorte de machine qu'est un être vivant. "
 

DOCTEUR ROGER FIX
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